Histoire du Tropicarium Bonsaï

Histoire

Crée en 1990, à la suite d’une association entre Michel HERIN et Yasushi ONUMA, l’entreprise est alors appelé « le Centre de Bonsaï » spécialisé dans cet art japonais.
En 1996 Yasushi ONUMA quitte la société entraînant sa dissolution.
Malgré ce départ Michel HERIN décide de reprendre l’affaire en s’associant avec sa femme Joëlle HERIN. Le « Tropicarium Bonsaï » est né.
L’activité se diversifie, à la production de Bonsaï viennent s’ajouter celles des plantes tropicales, des plantes aquatiques, des bambous et des arbres en nuages (Niwaki).
Michel et Joëlle sont de grands passionnés de l’Amazonie, c’est pourquoi ils ont essayés de recréer le climat de la forêt Guyanaise, chaleur et humidité s’harmonise pour le plaisir des végétaux présent dans la serre.
En 1997 la production côtoie décor tropical et animaux tropicaux. Les visiteurs y sont alors invités à découvrir pendant la période estivale des animaux peu communs : serpents, mygales, iguanes, caïman, grenouilles géantes et autres 200 tortues.
En 2005 le manque de surfaces pousse les exploitants à ouvrir un jardin extérieur ou les variétés régionales cohabitent avec celles plus exotiques qui se sont adaptées au climat Baulois. Il est devenu depuis le plus grand jardin privé de Loire Atlantique en nombre d’entrées.
La présence d’animaux tropicaux se réduit en 2007, ne présentant plus que des oiseaux, des tortues, et des mygales le dimanche pendant l’été.

En 2016 Medhi HERIN intégre l'entreprise petit à petit, en plantant de plus en plus des végétaux rares
Aujourd’hui ce sont plus de deux milles espèces de plantes cultivées, dans un cadre tropicale et d’une balade de près de 1h30 dans le jardin, qui s’offre aux visiteurs.